A-t-on jamais vu une fille parler de la sorte à son père ? Silvestre L’Avare est une comédie de Molière datant de 1668 de 5 actes. je crois qu’ils se font signe l’un à l’autre, de me voler ma bourse. RAMPANANA Joy n°19 Ce document a été mis à jour le 06/08/2009 LA FLÈCHE.- Comment diantre voulez-vous qu’on fasse pour vous voler ? Exemple de commentaire de Dom Juan, acte I, scène I, avec introduction et conclusion., Molière, 1665. [14] VAR. fâcheuses nouvelles pour un coeur amoureux ! cent choses à la fois : l’emportement d’un père ; les reproches d’une famille ; les censures du monde ; mais plus que tout, Valère, le changement de votre cœur ; et cette froideur criminelle dont ceux de votre sexe payent le plus souvent les témoignages trop ardents d’une innocente amour. Acte I – Scène 3 : Les personnages présents sont Harpagon et La Flèche, valet de Cléante. j’en suis ravi, et je veux que tu prennes sur elle un pouvoir absolu. CLÉANTE.- Admirables, sans doute [31] Sans doute : sans aucun doute, assurément. Je vous aime trop pour cela ; et mon amour pour vous, durera autant que ma vie. HARPAGON.- Et qu’un mari aurait satisfaction avec elle ? En effet, cette cène est caractéristique de l’esprit des comédies de Molière : corriger les mœurs par le rire. HARPAGON.- Cela est étrange ! Dix mille écus en or chez soi, est une somme assez... (Ici le frère et la sœur paraissent s’entretenant bas.) Lavare De Molière Acte Iv Scènes 1 à 7 Intercycles. Le Manège – Rue de la Croix BP 105 – 59602 MAUBEUGE CEDEX Tél : 03 27 65 15 00 / Fax : 03 27 65 93 80 mon frère, ne parlons point de ma sagesse. Ne bougez, je reviens tout à l’heure. HARPAGON.- Ah le brave garçon ! ÉLISE.- Je suis très humble servante au seigneur Anselme ; mais, avec votre permission, je ne l’épouserai point. VALÈRE.- Hé quoi, charmante Élise, vous devenez mélancolique, après les obligeantes assurances que vous avez eu la bonté de me donner de votre foi ? Scène première – Don Salluste De Bazan, Gudiel ; par instants Ruy Blas. Prenez ce temps pour lui parler ; et ne lui découvrez de notre affaire, que ce que vous jugerez à propos. Dame Claude, servante d'Harpagon | | HARPAGON.- Laissons cela, et parlons d’autre affaire. CLÉANTE.- Une jeune personne qui loge depuis peu en ces quartiers, et qui semble être faite pour donner de l’amour à tous ceux qui la voient. VALÈRE.- Ah ! HARPAGON.- Fais, fais. HARPAGON.- Oui. Tartuffe, acte 1 scène 1, introduction. Ne voilà pas de mes mouchard [17] Mouchard : "espion qui s’attache à suivre secrètement une personne pour en donner des nouvelles à la justice" (Dictionnaire de l’Académie, 1694). à tous leurs besoins le peu de bien. Il vient. Mais aussi n’a-t-elle pas tort tout à fait, et... HARPAGON.- Comment ? CLÉANTE.- Est-ce être votre ennemi, que de dire que vous avez du bien ? HARPAGON.- Attends. L’Avare The servants work feverishly to make sure all runs smoothly, and set aside some food to … VALÈRE, ÉLISE. HARPAGON.- Quelle ? 3. par l'insulte directe , à la fin de la scène . 1-Fiche d’identité de l’œuvre Quant à ton frère, je lui destine une certaine veuve dont ce matin on m’est venu parler ; et pour toi, je te donne au seigneur Anselme. 4e Lavare Questionnaire De Lecture Suivie. Tout d’abord à l’acte 1 scène 2 de Dom Juan ou le festin de Pierre de Molière, Dom Juan se livre à autoportrait dans lequel il fait l’éloge du libertinage. Médiocrement accueillie, elle n'est jouée que neuf fois avant d'être retirée. me donne de l’inquiétude ; et je crains fort de vous aimer un peu plus que je ne devrais. L’Avare L’Avare est une comédie de Molière datant de 1668 de 5 actes. Hors d’ici tout à l’heure, et qu’on ne réplique pas. LA FLÈCHE.- Ah ! ÉLISE.- Il est bien vrai que tous les jours il nous donne, de plus en plus, sujet de regretter la mort de notre mère, et que... CLÉANTE.- J’entends sa voix. L'Avare de Molière Votre réflexion personnelle peut mener à d’autres pistes de lecture.) Vous ignorez la douce violence qu’un tendre amour fait sur nos cœurs ; et j’appréhende votre sagesse. ÉLISE.- Suis-je, mon frère, une si étrange personne ? Est-ce du regret, dites-moi, de m’avoir fait heureux ? où l’on doit avoir de l’égard ; et que cette grande inégalité d’âge, d’humeur, et de sentiments, rend un mariage sujet à des accidents très fâcheux. ), Noble a probablement ici un sens moral qui s’accorderait bien avec. La première représentation a lieux le 9 septembre au théâtre du palais-royale à Paris. Soupçonnez-moi de tout, Élise, plutôt que de manquer à ce que je vous dois. Dernière modification : 24 octobre 2016 à 11h44 HARPAGON.- Je crois ce que je crois ; mais je veux que tu me dises à qui tu parles quand tu dis cela. et vous repentez-vous de cet engagement où mes feux ont pu vous contraindre [1] Il s’agit d’une promesse mutuelle de mariage que les deux jeunes gens ont signée la veille, et que Valère mentionnera à la fin de la scène 3 de l’acte V.  ? RANAIVOSON Tahiriniaina n°21 HARPAGON.- Cela m’accommoderait fort [23] Cela m’accommoderait fort : cela m’arrangerait bien. Molière, L'Avare, acte I, scène 3 . Un homme mûr, prudent et sage, qui n’a pas plus de cinquante ans, et dont on vante les grands biens. En effet, cette scène s’inscrit dans la continuité de l’acte 1 scène 1.Effectivement, dans la scène d’exposition Sganarelle, le valet … Faites semblant de consentir à ce qu’il veut, vous en viendrez mieux à vos fins, et... VALÈRE.- On cherchera des biais pour le rompre. In the great hall of the Capulets, all is a-bustle. - Pour le comique de mots • oxymore, figure qui établit une relation de contradiction entre deux termes qui sont coordonnés l'un à l'autre (ici, le sémantisme du nom commun « argent » s'oppose à la valeur de l'adjectif qualificatif épithète « pauvre » • hypocoristiques, termes qui expriment un attachement affectueux pour une personne : l'argent identifié à « mon cher ami » « sans toi il m'est impossible de vivre (...) on m'a privé de toi » • jeu de la personnification, de la personnalisation : la cassette est assimilée pa… L’Avare ACTE I Scène 3. CLÉANTE.- C’est de mariage, mon père, que nous désirons vous parler. 5-Présentation des personnages HARPAGON.- Oui. Elle se nomme Mariane, et vit sous la conduite d’une bonne femme de mère [12] Une bonne femme de mère : une mère âgée. VALÈRE.- Monsieur, je vous demande pardon, si je m’emporte un peu, et prends la hardiesse de lui parler comme je fais. On sait que Louis Béjart, qui créa le rôle de La Flèche en 1668, était boiteux. Le comique : surtout verbal et gestuel 4.1 : comique au niveau du langage : ex: l'adjectif "volable " , inventé par Molière ; "la plaisanterie au sujet des "autres mains " de LF . HARPAGON.- Sais-tu bien de quoi nous parlons ? On dit proverbialement et bassement parler à la barrette de quelqu’un pour dire le quereller, lui faire quelque reproche, quelque réprimande" (Dictionnaire de Furetière, 1690). Qu’avez-vous à me dire ? Acte I HARPAGON.- Oui, tu m’obligeras. HARPAGON.- Je me mets en peine de ce qu’il faut ? Il n’y a rien de plus faux ; et ce sont des coquins qui font courir tous ces bruits-là. LA FLÈCHE.- Je n’ai jamais rien vu de si méchant que ce maudit vieillard ; et je pense, sauf correction [i] Sauf correction : formule dont on se sert pour modifier et, en quelque sorte, rétracter d’avance ce qu’on va dire. Voilà parlé comme un oracle. à tous leurs besoins le peu de bien. 1-Définition de la…. Je fais chercher partout pour ce dessein, de l’argent à emprunter ; et si vos affaires, ma sœur, sont semblables aux miennes, et qu’il faille que notre père s’oppose à nos désirs, nous le quitterons là tous deux, et nous affranchirons de cette tyrannie où nous tient depuis si longtemps son avarice insupportable. [38] Sans doute : sans aucun doute, assurément. ÉLISE.- C’est une chose où vous ne me réduirez point. HARPAGON.- Et je ne me plaindrais pas, comme je fais, que le temps est misérable. Il est vrai que votre fille vous peut représenter que le mariage est une plus grande affaire qu’on ne peut croire ; qu’il y va d’être heureux, ou malheureux, toute sa vie ; et qu’un engagement qui doit durer jusqu’à la mort, ne se doit jamais faire qu’avec de grandes précautions [37] Toute cette phrase depuis Il est vrai... est indiquée par l’édition de 1682 comme étant sautée à la représentation. et cocher d'Harpagon | André Hubert | Oui, tu as beau fuir. Montre-moi tes mains. et vous repentez-vous de cet engagement où mes feux ont pu vous contraindre [1] Il s’agit d’une promesse mutuelle de mariage que les deux jeunes gens ont signée la veille, et que Valère mentionnera à la fin de la scène 3 de l’acte V. ? que mes propres enfants me trahissent, et deviennent mes ennemis ! Mais enfin, si je puis, comme je l’espère, retrouver mes parents, nous n’aurons pas beaucoup de peine à nous le rendre favorable. LA FLÈCHE.- Qui se sent morveux, qu’il se mouche. d'actes 5 ÉLISE.- Et moi, je gage qu’il ne saurait être approuvé d’aucune personne raisonnable. ÉLISE.- Mais a-t-on jamais vu un père marier sa fille de la sorte ? HARPAGON.- Qu’est-ce que tu parles de voler ? VALÈRE.- Après cela, résistez à mes remontrances. On n’a que faire d’avoir peur de trop charger la complaisance ; et la manière dont on les joue, a beau être visible, les plus fins toujours sont de grandes dupes du côté de la flatterie ; et il n’y a rien de si impertinent, et de si ridicule, qu’on ne fasse avaler, lorsqu’on l’assaisonne en louange. Date de parution 9 septembre 1668 J’y fais des progrès admirables ; et j’éprouve que pour gagner les hommes, il n’est point de meilleure voie, que de se parer à leurs yeux de leurs inclinations ; que de donner dans leurs maximes, encenser leurs défauts, et applaudir à ce qu’ils font. [15] Leur discrète conduite... : elles ont bien de la peine, malgré la sagesse avec laquelle elles règlent leurs dépenses, a couvrir tous leurs besoins avec les petites ressources qu’elles peuvent avoir. Je demande si malicieusement tu n’irais point faire courir le bruit que j’en ai. ÉLISE.- Je vous demande pardon, mon père. Elle la sert, la plaint, et la console avec une tendresse qui vous toucherait l’âme. Introduction 2. LA FLÈCHE.- Me voilà fort bien congédié. [34] Voilà de mes damoiseaux flouets : voilà de mes petits jeunes gens fluets, sans aucune santé. CLÉANTE.- Ah ! En fait, il s’agit seulement de l’habit de Cléante et du laquais qui l’accompagne en ville. Tu viens, Silvestre, d'apprendre au port que mon père revient ? [26] L’état : "la manière somptueuse, simple ou modeste dont on s’habille. Qu’est-ce ? HARPAGON.- Tu ne te tueras point, et tu l’épouseras. VALÈRE.- Mais pourquoi cette inquiétude ? [23] Cela m’accommoderait fort : cela m’arrangerait bien. CLÉANTE.- Ah ! Commentaire composé andromaque acte V, scène 1 Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Commentaire composé andromaque acte V, scène 1 Ce document contient 1056 mots soit 2 pages. COMMENTAIRE DIRIGE – TERZA – MOLIERE, L’AVARE Evaluation de l’itinéraire sur L’Avare Durée : 2 heures Extrait : Acte V, scène 3 5 10 15 20 25 Harpagon Approche, viens confesser l’action la plus noire, l’attentat le plus horrible qui jamais ait été commis. VALÈRE.- On ne peut pas ménager l’un et l’autre ; et l’esprit du père, et celui du fils, sont des choses si opposées, qu’il est difficile d’accommoder ces deux confidences ensemble. Durée approximative 2h 30min Je vous vois soupirer, hélas ! . Act 3, scene 2. Lorsqu’on s’offre de prendre une fille sans dot, on ne doit point regarder plus avant. s, qui prennent garde à ce qu’on fait ? HARPAGON.- Comment ? VALÈRE.- C’est pour ne point l’aigrir, et pour en venir mieux à bout. Je vous vois soupirer, hélas, au milieu de ma joie ! Elle fait une révérence.- Je ne veux point me marier, mon père, s’il vous plaît. [39] Qu’en tournant : que par des détours. L'Avare, film avec Louis de Funès 4 years ago. VALÈRE.- Hé quoi, charmante Élise, vous devenez mélancolique, après les obligeantes assurances que vous avez eu la bonté de me donner de votre foi ? 2-Biographie de l’auteur : Molière Que veulent dire ces gestes-là ? Molière : Dom Juan : Acte I scène 1 : La tirade de Sganarelle (Commentaire composé) Introduction: En quoi cette scène est une scène d'exposition ?. VALÈRE.- Vous avez raison. [i] Noble a probablement ici un sens moral qui s’accorderait bien avec posé et sage qui suivent. Êtes-vous un homme volable, quand vous renfermez toutes choses, et faites sentinelle jour et nuit ? Il contrefait sa révérence.- Et moi, ma petite fille ma mie, je veux que vous vous mariiez, s’il vous plaît.