Traductions en contexte de "astronomie" en allemand-français avec Reverso Context : Vergessen wir zu guter Letzt nicht die Astronomie und die Weltraumforschung. car il est le seul dans tout le livre qui mentionne l'islam dans le cadre de l'astrologie. Solutions trouvées et recours à la géométrie de la sphère, Triomphe du système de Ptolémée (c.825-c.1025), Critique du ptolémaïsme et nouvelles écoles (c.1025-c.1450), Horloges astronomiques et astrolabes à engrenages, « On sait que tous les astronomes arabes, de, « Ptolémée fait l'hypothèse d’un ordre qui ne peut exister, et le fait que cet ordre reconstitue pour son imagination des mouvements qui sont ceux des planètes ne l’exonère pas de l'erreur qu’il a commise en faisant l’hypothèse de cet ordre ; car les mouvements réels des planètes ne peuvent résulter d’un ordre qui n'existe pas, « J’ai entendu dire qu’Abu Bakr [Avempace] avait découvert un système où il n'y a plus d’, « Le rocher, grand ou petit, tombe vers la Terre selon une ligne perpendiculaire au plan (, « Par sa perception claire du rôle des mathématiques dans la description des phénomènes naturels, cet astronome réussit à porter la tradition hay’a à des sommets inégalés ailleurs, au plan mathématique comme au plan astronomique. Les observations astronomiques ont commencé dès le VIIIe siècle puisque Ibn Yunus rapporte l'existence de telles observations à Gundishapur avant 790[156] mais le premier programme d'observations est celui financé par le calife Al-Ma’mūn à la fin de son règne (vers 830). Les noms eux-mêmes peuvent faire référence à celui des constellations. On attribue à Al-Khawarizmi des tables qui abrégèrent et facilitèrent considérablement la fabrication de ces instruments permettant ainsi leur construction n'importe où sur Terre[195]. Le revers de l'astrolabe était utilisé pour présenter d'autres outils (quadrant à sinus, indicateur de Qibla, carré à ombres, calendrier solaire et lunaire, équatoire…). Astronomie arabe — Miniature ottomane de l étude de la lune et des étoiles XVIIe siècle Dans l’histoire de l astronomie, l’astronomie arabe renvoie aux découvertes astronomiques accomplies par la civilisation islamique, particulièrement au cours de l’Âge d or… … mouvement apparemment linéaire en une combinaison de mouvements circulaires uniformes) du savant persan Nasir El din Tusi (ses travaux auraient influencé l'œuvre majeure de Copernic sans que l'on sache encore par quel biais se serait faite la transmission). À la destruction[Par qui ?] 1847. It's an astronomical introduction to the night sky. Il demandait que les projections se fasse sur un plan spécial. Al-Tusi affirma ainsi que l'observation seule ne permettait pas de déterminer si la terre était immobile ou non, contrairement à une affirmation de Ptolémée mais se résolut finalement à la considérer comme immobile en vertu d'un principe philosophique selon lequel un mouvement de la terre ne pourrait être que rectiligne et non circulaire[112]. Parallèlement à ces observations institutionnelles les observations privées furent également très nombreuses à Bagdad, Damas, Samarra, Nishapur[162], Raqqa, où Al-Battani observa les étoiles pendant trente ans et au Caire (Ibn Yunus)[159]. L'auteur de cet ouvrage, observant les divergences entre les mesures de Ptolémée et les nouvelles mesures, concernant les valeurs de l'obliquité et de la précession, proposait un nouveau modèle dans lequel la valeur de l'écliptique et celle de la précession variaient de manière périodique. Dans l'Occident arabe, il est fait mention de deux mécanismes de cette sorte, l'un « les plaques de 7 planètes » est une conception d'Ibn al-Samh et l'autre, à deux plaques, est conçu par al-Zarqalluh[194]. Selon Sophie Makariou, le globe exposé au Louvre (voir photo) est le plus ancien globe connu de la partie orientale du monde islamique, les deux globes antérieurs ayant été probablement exécutés à Valence à la fin du XIe siècle[192]. On retrouve dans les modèles de Copernic l'utilisation des deux outils que sont le lemme d'Urdi et le couple al-Tusi sans démonstration. : Le CNRC a le mandat d'exploiter et de gérer les installations nationales de recherche en astronomie du Canada. scientifique commune : la langue arabe Le mécénat des Califes En Europe, entre l’époque de Ptolémée et celle de Copernic, une période de plus de mille ans, l’astronomie ne connait pas de développement notable. Pour éviter d'être confondus avec les astrologues et de tomber sous le coup des interdits religieux, les astronomes donnèrent un nom spécifique à leur activité : Ilm al-Hay'a (ou Science de la configuration de l'univers)[24]. Un nombre considérable d'écrits grecs, sanskrits et pehlevis furent traduits en arabe dès le IXe siècle. Une seconde vague de traduction au XIIe siècle permit de faire connaître au monde occidental les tables et l’astronomie théorique. On y découvrit très tôt le cycle du Saros et l'on comprit que le mouvement de la sphère céleste s'effectue autour d'un axe. Cet instrument, fondé sur le principe de la projection de la sphère céleste et de la course du soleil, permettait entre autres choses[171], de déterminer l'heure locale grâce à la mesure de la hauteur d'un astre, de mesurer la hauteur d'un bâtiment, déterminer l'heure du lever ou du coucher des astres, etc. C’était avant tout un abrégé de la cosmographie de Ptolémée, la présentant pour la première fois de manière plus descriptive que mathématique[56],[51]. Pour prédire quel jour la lune commence à redevenir visible, il fallait pouvoir décrire son mouvement par rapport à l’horizon, un problème dont la résolution appartient à une géométrie sphérique assez sophistiquée. Cette période voit l’éclosion d'une doctrine astronomique proprement musulmane. On note cependant durant le règne d'Akbar puis celui de Shâh Jahân des créations de tables mettant à jour les Tables sultaniennes d'Ulugh Beg[129] et l'intérêt d'Humayun pour l'astronomie était évident. Il y fit construire de très grands instruments d'observations en maçonnerie et en pierre, dont certains sont des innovations de Jai Singh lui-même[132]. Après le déclin de l’Empire moghol, c'est un roi hindou, Jai Singh II d’Ambre, qui entreprit de faire renaître la tradition astronomique arabe dans son royaume. ». What courses? Conférence : mercredi 7 octobre 2015. Il existait en outre une grande tradition de recherche et d'invention concernant les astrolabes. OAI identifier: oai:persee:article/rebyz_1146-9447_1929_num_28_156_2626_t1_0497_0000_5 On sait par ailleurs que plusieurs astronomes chinois travaillaient à l’observatoire de Maragha, en Perse. Introduction. Un astronome musulman célèbre du XVIe siècle, l’Ottoman Taqi al-Din fit construire en 1577 l’observatoire d'Istanbul, où il put observer le ciel jusqu’en 1580. Beaucoup d'entre eux ne figurent que dans des traités et ne semblent pas avoir donné lieu à une fabrication ou du moins leur usage fut très limité[176]. Par contre dans le monde islamique, d’importants progrès vont se produire, entre le IXème et le XIème siècle, tant Ibn Khalaf est le créateur de l'instrument connu dans l'Occident latin sous le nom de «Lamina universelle» et al-Zarqalluh le créateur d'instruments connus sous le nom latin de « Saphae » (Safiha shakkaziyya ou Safiha al-zarqalliyya)[173],[174]. Des tables apparaissent très tôt, destinées à régler les heures des prières (Al-Khwarismi)[21]. Plusieurs autres astronomes musulmans, et particulièrement les disciples de l’École de Maragha, mirent au point des modèles planétaires, qui, tout en restant géocentriques, divergeaient de celui de Ptolémée : ils devaient plus tard être adaptés au modèle de Copernic dans le cadre de l’héliocentrisme. Parmi celles-ci on peut citer la Theorica planetarum Gerardi et surtout la Theorica planetarum de Campanus de Novare qui fut étudiée dans les universités jusqu'au XIVe siècle[140]. Une manipulation sur le fil à plomb permettait de tenir compte de la date d'observation[184]. Parce que l’astronomie parvenait à calculer les tables de la lune, on a cru que le but de toute science était de prévoir avec exactitude l’avenir ; […]. La solution fut alors recherchée dans des modèles concentriques. Il écrivit sur le système planétaire de Ptolémée la critique suivante[1] : « Il est contraire à la Nature de supposer l’existence d'une sphère excentrique ou d'un épicycle. Cette langue permit des échanges autant sur des textes anciens que sur des textes contemporains et favorisa la mise en place d'une tradition de correspondance scientifique[7]. Cet observatoire bénéficiait de revenus propres pour son entretien et survécut ainsi à la mort d'Houlagou Khan. © 2013-2020 Reverso Technologies Inc. All rights reserved. Il servit de modèle pour les grands observatoires ultérieurs[166]. », Un oiseau volant d'est en ouest aurait à la fois sa vitesse et celle de la terre, ce qui est en contradiction avec ce que l'on peut observer, George Saliba, « Les théories planétaires », dans, Juan Vernet et Julio Samsò, « La science arabe en Andalousie », dans, Transformation and Tradition in the Sciences: Essays in honor of I. Bernard Cohen, « L’épicycle et l’excentrique sont impossibles. G. Wiet, V. Elisseeff, P. Wolff et J. Naudu, « La rotation de la Terre ne remettrait aucunement en cause les calculs astronomiques, car toutes les données astronomiques peuvent être expliquées indifféremment par l'une ou l'autre théorie. : En astronomie, elles sont toutes utiles. On regroupe sous ce vocable un grand nombre d'instruments en forme de quart de cercle. L'organisation de la vie religieuse, en posant un certain nombre de problèmes liés au calendrier par exemple, a donné un élan décisif à l'épanouissement de l’astronomie mathématique[1], même si, selon Ahmed Djebbar[9], cette composante, bien qu'ayant été au départ un des facteurs positifs, n'est qu'un élément parmi d'autres dans le développement de l'astronomie arabe. C'est là qu’Omar Khayyam et ses collaborateurs construisirent leurs tables et promulguèrent le Calendrier solaire persan, également appelé calendrier jalali[161]. Plusieurs étoiles visibles à l’œil nu dans le ciel, comme Aldébaran (α Tauri) et Altaïr (α Aquilae), ainsi que plusieurs termes d’astronomie comme « alidade », « azimut » et « almucantarat » témoignent par leur morphologie de leur origine arabe[5]. Ce livre connut une large diffusion dans le monde musulman et eut une grande influence sur l'enseignement du système de Ptolémée. Le quadrant horaire simple possède un système de lignes gravées permettant de déterminer l'heure saisonnière[38] ou l'heure régulière à une latitude donnée en fonction de la hauteur du soleil[183]. De même la détermination de l'heure des salat s'est d'abord effectuée de manière empirique. Ce sont des mécanismes sphériques analogiques[189] permettant de déterminer la position des étoiles et du soleil selon les époques de l'année. Parmi eux, on peut citer l'astronome persan al-Biruni au XIe siècle[26], al-Fârâbî[27], Alhazen[28], Avicenne[29], Averroès[27], Maïmonide[30] et Ibn Qayyim al-Jawziyya[31]. Il affirmait qu’Avicenne avait lui-même résolu le problème de l’équant[83]. D'autres ouvrages de Ptolémée influencèrent l'astronomie arabe : Le livre des hypothèses, Le Phaesis et les Tables faciles. La conclusion de tout cela, dit-il, c'est que vous devez croire aux extraterrestres si vous connaissez un peu l'astronomie moderne. Au XVIe siècle, le débat sur le mouvement de la Terre fut relancé par al-Birjandi (en) (mort en 1528) qui, se demandant quels phénomènes devraient accompagner la rotation de la Terre, en vient à formuler une hypothèse similaire à l’inertie de rotation de Galilée[119], qu'il évoque (en réponse à une objection de Qutb al-Din al-Shirazi) à propos de l'observation suivante : « Le rocher, grand ou petit, tombe vers la Terre selon une ligne perpendiculaire au plan (sath) de l’horizon ; l'expérience (tajriba) en témoigne. The United Arab Emirates, China and the United States all launched robotic missions to Mars last summer, seeking shortened voyages during the … De ce point de vue, le rôle joué par l’Almageste (composé vers l’an 150) de l’astronome alexandrin Ptolémée (vers 100 - 178) fut exemplaire. Il s'agissait pour le nécessaire astronomique d'Ibn al-Shatir d'un cadran solaire polaire et pour celui d'al-Wafa d'un cercle équatorial[198]. Au XVIème siècle, Copernic publie son grand ouvrage sur le mouvement des astres, en mettant le soleil au centre de l’univers. Certains astronomes musulmans, toutefois, notamment Nasir ad-Din at-Tusi, se demandèrent si la Terre n’était pas elle-même en mouvement et recherchèrent comment rendre cette hypothèse compatible avec les calculs astronomiques et les principes cosmologiques[78]. Suhail: Suhail, dont la signification est noble en arabe, est la troisième étoile la plus brillante de la constellation Vela. Au XIe siècle, Malik Shah Ier institua un grand observatoire, sans doute à Ispahan qui fonctionna durant 18 ans[160]. Quant à l’influence que l’école de Maragha aurait eu sur ses modèles planétaires, elle est encore à l’étude[145]. Sous l'impulsion d'Al-Ma’mūn (813-833), un grand programme d'observation des étoiles fut entrepris à Damas et Bagdad[47]. Aussi même s'il n'y avait aucun contact entre Grecs et Arabes avant la période islamique, on peut observer des rapprochements dans les noms, qui ne témoignent que de racines communes[150]. Ces méthodes n'étaient pas entièrement nouvelles, mais les scientifiques arabes les ont rendues plus précises grâce à leur développement de la géométrie sphérique et de la trigonométrie[12]. Il se dressait à Samarcande, en Ouzbékistan, et cet arc édifié avec beaucoup de soin comportait des escaliers de chaque côté pour permettre aux assistants chargés des mesures de se déplacer rapidement. Quoi qu’il en soit, après le XVIe siècle, il semble bien que l’intérêt pour l’astronomie théorique soit éteint, tandis qu'au contraire la pratique de l’astronomie d'observation selon la tradition arabe reste soutenue dans les trois empires musulmans de la poudre à canon : l’Empire ottoman, les Séfévides de Perse, et l’Empire moghol en Inde. On trouve également dans des écrits arabes du VIIIe siècle des références à un recueil de chroniques astronomiques compilées sur deux siècles dans la Perse des Sassanides et connu en arabe sous le nom de Zij al-Shah (ou Tables Royales)[35]. essais gratuits, aide aux devoirs, cartes mémoire, articles de recherche, rapports de livres, articles à terme, histoire, science, politique L. P. E. A. Sedillot (1808–1875). : Une introduction d' astronomie sur le ciel. Lion: bien que cela puisse sembler faux, le Lion est aussi un nom inspiré par l’astronomie. Comme le note en effet l’historien des sciences Abdelhamid I. Sabra (de) : « On sait que tous les astronomes arabes, de Thābit ibn Qurra au IXe siècle à Ibn al-Shatir au XIVe siècle, et tous les philosophes de la nature d’al-Kindi à Averroès et même après, ont accepté ce que Kuhn appelle l’« univers à deux sphères »...—les Grecs se représentent le monde comme formé de deux sphères dont l'une, la sphère céleste, faite d'un élément particulier appelé « éther », entoure la seconde, où les quatre éléments (terre, eau, air, et feu) sont confinés[77] ».