J'ois qu'il me tient propos, Au total, 284 personnes furent exécutées sous le règne de Marie Ire, la plupart par le feu[202],[203]. Fille du roi Henri VIII, Marie Tudor s’impose sur les trônes anglais et irlandais en juillet 1553, à l’âge de 37 ans. Durant le premier mois de son règne, Marie Ire proclama qu'elle ne forcerait aucun de ses sujets à suivre sa religion mais à la fin du mois de septembre, plusieurs ecclésiastiques réformateurs tels que John Bradford (en), John Rogers (en), John Hooper, Hugh Latimer et Thomas Cranmer furent emprisonnés[186],[187]. Ses armoiries étaient parfois associées côte à côte avec celles de Philippe. Philippe était mécontent de ces conditions mais il les accepta pour que le mariage se concrétise[155],[156]. Elle fait alors emprisonner Marie dans diverses prisons anglaises pour éviter qu'elle ne conduise un soulèvement. En violation du Troisième Acte de Succession qui réintégrait Marie et Élisabeth dans l'ordre de succession, Édouard VI désigna Jeanne Grey, par lettre patente, pour lui succéder. Le tempérament du roi et sa santé ne lui permettant pas de faire face aux nécessités de la vie quotidienne, il pouvait encore moins gouverner. Elle n'a évidemment aucune chance : nul Anglais n'accepterait que la r… En 1558, elle épouse le futur roi de France François II, qui accède au trône l'année suivante, reconduisant ainsi l'Auld Alliance entre les deux pays. Le 8 septembre, Arran retourne au sein de l'Église catholique, recevant l'absolution du cardinal. Parmi les signataires figuraient Huntly, Morton, Borthwick, et les Kerr (en). De plus, elle était prétendante au trône d'un troisième État, l'Angleterre (comme reine régnante également), par sa grand-mère Marguerite Tudor, sœur d'Henri VIII. Henri accepta les conditions, et le Parlement de Paris naturalisa tous les sujets écossais comme Français le 8 juillet 1558. Henri Clutin, seigneur d'Oysel et de Villeparisis[note 4] fut dépêché en Écosse en tant qu'ambassadeur de France pour confirmer l'alliance entre les deux pays et, comme signe de bonne volonté du roi de France, des galères furent envoyées pour capturer le château de St. Andrews, où les meurtriers du cardinal Beaton s'étaient retranchés. Noailles quitta l'Angleterre et Dudley fut exilé en France[213]. En mai 1555, elle donna un discours en latin devant la Cour dans la grande salle du Louvre, où elle affirma qu'une éducation dans les lettres et les sciences humaines est adéquate pour une femme. Élevée à la cour de France d’Henri II et de Catherine de Médicis, elle épousa leur fils aîné, François II. Il semble qu'elle soit restée trois ans dans les marches galloises avant de revenir dans les Home Counties autour de Londres à partir de 1528[29]. Des cérémonies furent organisées par le diocèse de Londres à la fin du mois d'avril après que des rumeurs annonçant la naissance d'un fils se furent propagées dans toute l'Europe[171],[175]. Elle y demeurera cinq années, jusqu’à sa mort le 17 novembre 1558. De dame infortunée Dans le même temps, Henri VIII envisage une nouvelle approche destinée à unir les couronnes d'Écosse et d'Angleterre ; plutôt que de prendre l'Écosse par les armes comme du temps du roi Jacques V, il entend unir son fils Édouard à Marie Stuart. Lors des persécutions mariales, de nombreux protestants furent exécutés à partir de février 1555[195]. En octobre 1566, les troubles nerveux et les crises douloureuses abdominales dont elle souffrait depuis l'adolescence empirèrent (les historiens ont suspecté le stress mental, des hémorragies d'un ulcère gastrique ou la porphyrie[21]) au point qu'elle perdit la vue et la parole. Les époux furent reçus à la porte ouest par le cardinal de Bourbon, puis l'évêque de Paris prononça un discours sous une voûte en fleurs de lys et célébra la messe à l'intérieur. Marie Ire déclara publiquement qu'elle convoquerait le Parlement pour discuter du mariage et qu'elle déclinerait l'union si l'assemblée estimait qu'elle n'était pas à l'avantage du pays[144],[145],[146]. En juillet 1520, alors qu'elle n'avait que quatre ans et demi, elle joua du clavecin pour la visite d'une délégation française[17],[18]. Si les grands-parents maternels de Marie Ire, Isabelle Ire de Castille et Ferdinand II d'Aragon, avaient conservé la souveraineté de leurs propres royaumes durant leur mariage, il n'existait pas de précédent de ce type en Angleterre[151],[152]. Marie I d’Écosse (en anglais Mary, Queen of Scots, en gaélique écossais Màiri, Bànrigh na h-Alba), née Marie Stuart le 8 décembre 1542 et morte exécutée le 8 février 1587, est souveraine du royaume d’Écosse du 14 décembre 1542 au 24 juillet 1567 et reine de France du 10 juillet 1559 au 5 décembre 1560. Ce dernier lui enseigna la rhétorique, tandis que Pierre de Ronsard la formait à la poésie. Fille unique de Jacques V d'Écosse et de Marie de Guise, Marie Stuart devient reine d'Écosse sous la régence de sa mère six jours après sa naissance. La plus chérie, De plus, le cardinal déclara que par le refus d'Henri de ratifier le traité, celui-ci cessait de prendre effet sur l'Écosse. Selon Susan Doran, historienne à Christ Church (université d'Oxford), il n'est pas certain que Marie ait lu ces documents puisqu'elle signait déjà des documents vierges transmis à sa mère pour des actes officiels. Les bûchers se révélèrent très impopulaires et même Alfonso de Castro (en), l'un des conseillers religieux de Philippe, les condamna[204],[205],[206] tandis que Simon Renard, un autre de ses conseillers, l'avertit que des « exécutions aussi cruelles » pourraient « provoquer une révolte[207] ». Ce porteur & sa compaignie – la plupart de vos subjets – vous tesmoigneront mes déportements. Durant l'année 1539, le principal conseiller du roi, Thomas Cromwell, négocia une alliance avec le duché de Clèves. Les historiens catholiques, comme John Lingard, ont avancé que ses politiques échouèrent non pas parce qu'elles étaient mauvaises mais en raison de la faible durée de son règne et des problèmes météorologiques hors de sa portée[247]. Celle-ci la perçoit comme une menace, car Marie est considérée comme l'héritière légitime du trône d'Angleterre par les catholiques. Le but du voyage de Marie de Guise était essentiellement d'impressionner ses nobles ; la mise en scène du pouvoir politique lors de l'entrée à Rouen était probablement l'événement le plus coûteux organisé en France en 1550, tandis que des comtés et présents variés étaient offerts aux nobles écossais. Elle était une reine, et par le même titre, un roi, « Philippe et Marie, par la grâce de Dieu, roi et reine d'Angleterre, de France, de, « Philippe et Marie, par la grâce de Dieu, roi et reine d'Angleterre, d'Espagne, de France, de Naples, de Jérusalem, et d'Irlande, défenseurs de la foi, archiducs d'Autriche, ducs de Milan, de Bourgogne et de Brabant, comtes de Habsbourg, de Flandre et du Tyrol, En raison de la succession contestée d'Édouard VI, plusieurs dates sont retenues dans les sources pour l'avènement de Marie. Personnes ayant accompagné Marie Stuart en France, Personnes ayant accompagné Marie de Guise en France, Vers attribués à Marie Stuart sur la mort de François II, Vers attribués à Marie Stuart sur son départ de France, Naissance et contexte politique initial (1542-1543), Projets d'union entre l'Écosse et l'Angleterre, Préparatifs et cérémonie de mariage (1557-1558), Évolution de la politique intérieure (1557-1561), Une certaine dose de sensationnel entoure d'une part les circonstances du décès de Jacques V, et d'autre part la phrase qu'il aurait prononcée sur la couronne. Différentes orthographes cohabitent quant au nom de l'ambassadeur. Ni si triste douleur Qui est l'amoureux teint. Marie Stuart, reine d'Écosse, drame de Josie Rourke, sortie le 27 février. Ayant triomphé de tous ses ennemis mais dép… Cette action précipita la fin de leur mariage. Le regret d'un absent. Naviguant le long des côtes d'Irlande pour éviter la flotte anglaise, elle accosta en France à Roscoff[note 6] puis à Morlaix. Je vois en une nue ; Personnalités. En août 1548, Marie embarqua à Dumbarton à bord de la flotte envoyée par Henri II de France (comprenant le navire royal d'Henri) sous le commandement de Nicolas Durand de Villegagnon. Sommeillante sur ma couche Le cardinal Beaton est transféré à son propre château de St-Andrews (en), où il reste en théorie confiné ; son pouvoir sur la scène politique demeure malgré tout intact sinon renforcé. Avant Marie, Catherine avait été enceinte à quatre reprises ; deux de ses grossesses s'étaient terminées par des fausses couches tandis que les deux fils qu'elle mit au monde, tous deux appelés Henry, moururent dans les semaines qui suivirent leur naissance[2],[3],[4],[5]. Il est connu que Marie a été retirée de Stirling, mais l'endroit où elle est emmenée est gardé secret. Cependant, Beaton ne fait aucune objection ouverte aux négociations de mariage entre Marie Stuart et le fils d'Henri. estant par la permission de Dieu pour mes péchés comme je crois venue me jeter entre les bras de cette Roine ma cousine, où j’ai eu beaucoup d’ennuis & passé près de vingt ans, je suis enfin par elle & ses états condamnée à la mort, & ayant demandé mes papiers par eux ostés à cette fin de faire mon testament, je n’ai peu rien retirer qui me servist, ni obtenir congé d’en faire un libre, ni qu’après ma mort mon corps fust transporté selon mon désir en votre royaume où j’ai eu l’honneur d’estre roine votre sœur & ancienne alliée. La position d'Arran devenant intenable face à Henri qui entend prendre l'enfant de force, Arran sort à cheval d'Édimbourg et rencontre Beaton. Le cardinal suggéra des économies sur le train de vie, mais Marie refusa, afin de ne pas se couper de la mode. L'opposition à Françoise d'Estamville est le seul acte d'autorité dont Marie ait fait preuve dans sa jeunesse[12]. Marie Ire devint ainsi reine de Naples et reine titulaire de Jérusalem lors de son mariage[158],[159],[160]. Le premier Parlement, convoqué par la reine en octobre 1553, déclara que le mariage de ses parents était valide et abrogea les lois religieuses édictées par Édouard VI[188],[189],[190]. Il existe une discussion quant à l'endroit où Marie débarqua en premier lieu. Clément VII a peut-être été influencé dans sa décision par Charles Quint, le neveu de Catherine d'Aragon, dont les troupes occupaient Rome dans le cadre de la septième guerre d'Italie[41],[42]. Si Napoléon était resté officier d'artillerie, il serait encore sur le trône. Le roi insista pour que Marie reconnaisse son statut de chef suprême de l'Église d'Angleterre, répudie l'autorité pontificale, reconnaisse que le mariage de ses parents était impur et accepte sa propre illégitimité. Reginald Pole, dont la mère avait été exécutée par Henri VIII, arriva comme légat pontifical en Angleterre en novembre 1554[209],[210]. Marie Stuart a laissé à la postérité une création poétique, notamment rédigée en français[34],[35]. Marie Ire eut le cœur brisé et elle sombra dans une profonde dépression. Quoi qu'il en fût, la nouvelle qu’elle l'avait épousé scella son destin. Henri II montra son habileté de danseuse à la fin d'avril 1548 en la faisant parader devant l'ambassadeur d'Angleterre aux festivités du mariage de François de Guise avec Anne d'Este. Un portrait et image Le 14 décembre, le Parlement écossais dépêcha neuf députés, demandant des conditions avantageuses pour son indépendance nationale : si Marie Stuart venait à décéder sans descendance, la France devrait aider à la succession du trône d'Écosse par l'héritier le plus proche par le sang. Elle devient souveraine des Écossais du 14 décembre 1542 jusquau 24 juillet 1567 et reine consort de France du 10 juillet 1559 au 5 décembre 1560. La situation était donc excellente pour les Guise, mais ils savaient qu'elle était fragile : la mauvaise santé de François ne devant pas lui permettre de vivre longtemps, tous leurs espoirs étaient qu'il ait un enfant avec Marie. La monnaie anglaise fut dévaluée sous Henri VIII et Édouard VI, et Marie Ire prépara une réforme monétaire qui ne fut cependant pas appliquée avant sa mort[231],[232]. Car mon pis et mon mieux Il fut enterré à La Hulpe. Je ne m'arrête en place ; De devenir chevalier de ton ordre. Henri VIII mourut en 1547 et Édouard VI lui succéda. Fin février, Maitland fut envoyé en émissaire auprès d'Élisabeth, et ils signèrent le traité de Berwick par lequel Élisabeth envoyait des troupes pour soutenir les protestants. Si ma douleur n’efface, Ores m'est peine dure ; Les Guise firent tout leur possible pour sauver le roi, leur succès étant lié à son éventuelle descendance avec Marie. Élisabeth considérait les prétentions de Marie au trône comme un complot : elle l'assigna à résidence pendant dix-huit ans sous la garde de George Talbot (en), 6e comte de Shrewsbury et sa redoutable épouse Bess de Hardwick, dont la fille épousa le frère du deuxième époux de Marie et eut un enfant, Arbella Stuart. Elle lui resta dans les mains, la tête tombant sur le sol. Entre les 18 et 24 juillet 1567, Marie fit une fausse couche. En 1559, John Knox, figure de la Réforme écossaise, rentra en Écosse, recherchant le soutien des nobles pour promouvoir sa cause, et entreprit donc un tour du pays. Cette convention renversait également le cardinal, qui avait perdu la confiance de la reine douairière. En France, ses intérêts avaient été défendus dès 1565 par le mathématicien et cryptologue François Viète avec qui elle partageait ce talent. Écoutant les conseils de son épouse, il confia le pouvoir à ses oncles de Guise. Votre très affectionnée & bien bonne sœur ». La dernière modification de cette page a été faite le 13 janvier 2021 à 00:19. Le docteur Jenny Wormald (en), membre honoraire d'histoire écossaise à l'université d'Édimbourg, déclara — non sans humour — que la seule Marie ayant fait l'objet de davantage de publications que Marie Stuart était la Vierge Marie : « Comme sujet d'études historiques, et héroïne romantique d'œuvres de fiction, Marie, reine d'Écosse, prédomine sur toutes les Marie qui l'ont précédée, seule la Vierge faisant mieux. Marie se retira ensuite pour mener le deuil, en suivant la tradition de rester dans une chambre noire pour quarante jours. [Dans le catalogue de 1962 des livres à la British Library], la Vierge Marie a 150 pages qui lui sont dévolues, Marie reine d'Écosse 455 livres, et la reine anglaise Marie Tudor dite « la sanglante» 73[42]. Le 6 juillet 1553, Édouard VI mourut d'une infection des poumons, probablement la tuberculose, à l'âge de 15 ans[106]. », « [A la mort de son mari], Antoinette dévoua le reste de sa vie au soin des pauvres, des veuves et des orphelins, auxquels elle prodiguait elle-même les soins. Marie Ire avait toujours rejeté la rupture avec Rome instituée par son père et l'établissement de l'anglicanisme. À la mort de François II, son jeune frère Charles IX devint roi et sa mère, Catherine de Médicis, prit le pouvoir en tant que régente et demanda l'inventaire des bijoux. Marie Stuart fut exécutée au château de Fotheringhay le 8 février 1587 à dix heures du matin, comme suspecte d'avoir participé au complot d'Anthony Babington. Philippe ne parlait pas anglais et ils communiquèrent en espagnol, en français et en latin[165],[166]. C'est marie Tudor et non marie Stuart qui a fait incarcérer Elisabeth _____ C'est l'ambition qui perd les hommes. En réponse, les Écossais naturalisèrent tous les sujets français. Les rebelles furent battus à leur arrivée à Londres ; Wyatt, Henry Grey, sa fille Jeanne et son mari Guildford Dudley furent exécutés. Lorsque ses servantes s'avancèrent pour la déshabiller, les bourreaux se précipitèrent, car la coutume voulait qu'ils récupèrent pour eux les vêtements des condamnés. Le choix du régent était ainsi crucial. Le règne de Marie Ire fut marqué par ses tentatives visant à rebâtir le catholicisme après les règnes protestants de son demi-frère et de son père. Leur nièce Marie Stuart devint un objet de mariage clair avec le dauphin de France, François[2]. Le mariage n'est pas heureux malgré la naissance d'un fils, le futur Jacques VI d'Écosse et Ier d'Angleterre. Avait osé occuper le territoire écossais D'après Michel de Castelnau, Marie appréciait particulièrement les œuvres de Pierre de Ronsard, Joachim Du Bellay et Étienne de Maisonfleur. Le château de Stirling (vu en 1693 par John Slezer). La régence est laissée à sa mère, Marie de Guise. Les témoignages confirment que son bourreau était saoul le jour de son exécution, et qu'il eut besoin de trois coups de hache (le glaive, symbole de la justice divine, commun en France, lui avait été refusé) pour exécuter la sentence. Dans une tentative pour développer le commerce et soutenir l'économie anglaise, les conseillers de la reine poursuivirent la politique de Dudley visant à obtenir de nouveaux débouchés commerciaux. Un résultat inattendu de la prise du château fut la découverte du registre d'Henry Balnaves : ancien secrétaire du gouvernement de Marie, Balnaves était un agent payé pour la cause de l'Angleterre, et son registre contenait les noms de nombreux nobles favorables à l'Angleterre, parmi lesquels Gray, Cassilis, Lennox et Glencairn, mais aussi Patrick Hepburn, comte de Bothwell (en) (père de celui qui serait le 3e époux de Marie Stuart). Le roi lui interdit de voir sa mère qui fut envoyée vivre à l'écart de la cour au château de Kimbolton[44],[45]. L'héritière de la Couronne d'Angleterre devint sa demi-sœur et la fille d'Anne, Élisabeth[46],[47]. Dudley perdit ses soutiens[118],[119],[120],[121] et Jeanne fut déposée le 19 juillet[122],[123]. Les négociations prirent plusieurs mois et le pape Jules III dut faire une importante concession : les propriétés et les biens confisqués sous Henri VIII ne seraient pas rétrocédés à l'Église romaine[193]. Il suffisait de la garder hors d'Écosse et de contrôler ses partisans. En théorie, sa mère, Catherine de Médicis, devait toujours être consultée, mais l'autorité réelle revenait aux frères de Guise, devenus les dirigeants du royaume. Il n'a vécut que 3 mois après le mariage. L'une des premières décisions de Marie en tant que reine fut de libérer les conseillers catholiques Thomas Howard, Étienne Gardiner et Édouard Courtenay qui étaient emprisonnés à la tour de Londres[125],[126]. La liste des rois et reines d'Angleterre du, Lettre de l'empereur Charles Quint à l'impératrice, Comptes rendus contemporains espagnols et anglais cités par. Après quelques hésitations sur l'accusation du meurtre de Darnley, Élisabeth Ire ordonna une enquête plutôt qu'un procès. Toutefois, Élisabeth monta sur le trône d'Angleterre ; la situation entre la France et l'Espagne changea rapidement, leurs finances ne permettant plus de supporter des politiques impérialistes. Considérée comme mourante, elle recouvra la santé grâce à la compétence de ses médecins français[22]. De fait, ce premier mariage avait été annulé par le précédent pape Jules II sur cette base. Alors, imprudemment, Marie Stuart, qui est sa cousine du côté Tudor, revendique la couronne et se proclame reine d'Angleterre. Tout le pays où la nation anglaise Marie continua de refuser d'abandonner le catholicisme et Édouard VI refusa de renoncer à ses demandes[104],[105]. William Maitland de Lethington, son secrétaire d'État, se rendit compte qu'elle œuvrait pour l'annexion de l'Écosse à la France, menaçant ainsi la souveraineté nationale. Les efforts diplomatiques de Maitland conduisirent à la ratification, par un grand nombre de nobles, d'un document signant l'expulsion des troupes françaises et la défense de la réforme religieuse. Avec le Sermon Funebre fait à Nancy, aux obseques & funerailles de… François de Lorraine, Duc de Guyse, en l'église des Cordeliers… Par Bernard Dominici, de l'ordre de la saincte Trinité…[37] ; ainsi que Adieu France ! Pour le premier cas, dans l'émission. Le 24 juillet, elle abdiqua le trône d’Écosse en faveur de son fils Jacques, alors âgé d'un an[28]. Marie Stuart naît le 8 décembre 1542.Elle est la fille de Marie de Guise et de Jacques V d’Écosse. Marie, faisant fi de la réprobation paternelle, s'ingéniait à commander des vêtements de cour aux couleurs qu'elle portait enfant et princesse, rompant ainsi avec l’étiquette si chère à son père. La santé déclinante du roi ne pouvait être trop publique pour les Guise, en raison du conflit intérieur avec les huguenots, et ils la dissimulèrent à la cour et aux ambassadeurs. Après le mariage, Marie et son époux habitèrent aux appartements royaux de Saint-Germain. L'issue de la convention des nobles est donc plus faible que ce dont se vantait George Douglas, et consiste plutôt en un renforcement de la gestion de Marie Stuart par sa mère. Qui as nourri ma jeune enfance ! Apprenant la réconciliation d'Arran avec le cardinal, Henri VIII commença alors une politique guerrière connue sous le nom de Rough Wooing. Le roi, mourant, se trouve au château voisin de Falkland, lorsqu'un messager lui annonce que la reine a accouché d'une fille. En 1536, Anne Boleyn perdit les faveurs du roi et fut décapitée. Selon l'application normale de la loi, il aurait dû être absous mais la reine refusa de lui pardonner et lors de son exécution le 21 mars 1556, il revendiqua son adhésion au protestantisme[200],[199],[201]. Elles assistèrent ensemble, en octobre, à l'entrée royale d'Henri II à Rouen. Cromwell perdit les faveurs royales et fut arrêté pour trahison en juin 1540 sur l'accusation qu'il complotait pour épouser Marie[84]. Plusieurs observateurs notèrent une grande différence dans le physique des deux époux, considérant parfois que cela conférait un côté « grotesque » à la cérémonie. Une partie du monument funéraire se trouve encore dans l'église Saint- Nicolas de ce village[32]. Le lendemain, Marie Stuart est couronnée dans la chapelle du château de Stirling par le cardinal Beaton ; Arran porte la couronne, Lennox le sceptre et le comte d'Argyll l'épée de l'État[11],[12]. La raison invoquée fut qu'Arran, sur les conseils du cardinal, avait brisé la paix et le contrat de mariage, aboutissant donc à la situation délicate dans laquelle le pays se trouvait. Cependant les dames d'honneur de la cour mirent les symptômes de Marie sur le compte d'une grossesse. Après la cérémonie, la procession traversa les rues de Paris jusqu'au palais de justice, où eut lieu un grand banquet. Son mari et elle voulaient réconcilier l'Angleterre avec Rome et Philippe persuada le Parlement d'abroger les lois religieuses adoptées par Henri VIII, ce qui ramenait l'Église d'Angleterre sous la juridiction du Vatican. Soit à l'aube du jour En mon pâle visage Lord Darnley meurt assassiné en 1567, et les soupçons pesant sur Marie Stuart fragilisent sa position. D'une extrême tristesse ; De plus, selon la coutume anglaise du jure uxoris, les propriétés et les titres d'une femme devenaient également ceux de son mari et certains craignaient que l'homme qu'elle épouserait devînt de fait roi d'Angleterre[149],[150]. Avec l'appui du parti français, il fait rentrer le comte de Lennox de France, le présentant comme l'héritier de la couronne face à Arran, et disposant ainsi d'un moyen de pression supplémentaire. Elle comprit que Jeanne n'était qu'un pion dans le plan de Dudley, et ce dernier fut la seule personne de son rang exécutée pour haute trahison immédiatement après son accession au trône. Pendant ce temps, le mariage de ses parents était en péril. Pour mener à bien ce projet, il dispose d'un avantage conféré par sa victoire à la bataille de Solway Moss : de nombreux nobles écossais étant restés prisonniers d'Henri, ces derniers sont contraints à demander publiquement que Marie soit confiée à Henri et la principale forteresse transférée sous sa garde. La reine douairière s'engagea ainsi dans une nouvelle alliance avec Angus, qui fut promu lieutenant-général au sud du Forth. Françoise d'Estamville s'y opposa, demandant les robes pour elle-même. Adieu, France, adieu, mes beaux jours ! Emprisonnée par sa cousine, la reine Élisabeth Ire dAngleterre, elle est condamnée pour haute trahison et exécutée. Elle est emprisonnée et abdique au profit de son fils, alors âgé d'un an. Je le sens qu'il me touche. Vous les recevrez comme de votre très affectionnée belle-sœur mourante en vous recommandant encore mes serviteurs. En l'absence d'enfants, Philippe craignait qu'après Marie Ire et Élisabeth, la Couronne ne passe à Marie Ire d'Écosse qui était promise au dauphin de France. Elle choisit pour cela l’abbaye Saint-Pierre-les-Dames[note 11] dont sa tante, Renée de Lorraine, était abbesse. Conformément à la coutume, Marie demanda à Diane de Poitiers un inventaire des bijoux que cette dernière avait reçus de Henri II et les récupéra. Pour ces occasions, Marie disposait d'une garde-robe conséquente contenant des « robes damassées dorées et satin vénitien pourpre sur de la soie pourpre et un riche taffetas noir, tandis que les coiffes sont brodées minutieusement, ses gants faits du meilleur cuir » et ses trois coffres en cuivre pouvaient à peine contenir tous ses bijoux[12]. Je jette un deuil tranchant, Mais elle finit par se résigner sans se dénuder totalement. Le roi l'adorait et il se vanta auprès de l'ambassadeur vénitien Sebastian Giustiniani qu'« elle ne pleure jamais[23] ». Marie Ire maintint dans ses fonctions le lord trésorier nommé par Édouard VI, William Paulet (en), et lui demanda de superviser la collecte des impôts et des taxes. Le 9 juillet, elle écrivit depuis Kenninghall au Conseil privé pour faire reconnaître la lettre patente d’Édouard comme acte de trahison selon la loi de Trahison de 1547, et pour lui demander de la proclamer reine[112],[113],[114],[115]. Selon l'acte de mariage, Philippe recevrait le titre de « roi d'Angleterre », tous les documents officiels seraient signés avec leurs deux noms et le Parlement serait convoqué sous l'autorité conjointe du couple jusqu'à la mort de Marie Ire. À 37 ans, Marie Ire commença à se concentrer sur la recherche d'un partenaire pour engendrer un héritier et ainsi empêcher la protestante Élisabeth de lui succéder au trône. Déçu de ne pas avoir d'héritier mâle et impatient de se remarier, Henri VIII tenta de faire annuler son union mais cette demande fut rejetée par le pape Clément VII. Marie fut courtisée par Philippe du Palatinat-Neubourg à partir de 1539, mais ce dernier était luthérien et ses demandes de mariage furent rejetées[78],[79],[80],[81]. Et fleur de ma jeunesse, Qui figure mon deuil Le 8 février 1587, Marie Stuart est décapitée. Puis le deuxième tomba sur la nuque sans complètement couper le cou, et ce ne fut qu'au troisième que la tête se décolla. Il abjura, rejeta la théologie protestante et rejoignit la foi catholique[197],[198],[199]. Qu'en regret et désir. En effet, celle-ci comptait sur le cardinal pour défendre les intérêts de Marie, contrairement à Arran qui tentait de la marier à son fils, mais, à la suite de la réconciliation du cardinal et d'Arran, ils se trouvèrent tous deux d'accord afin de marier Marie au fils d'Arran. « La grossesse de la reine ne semble pas être aussi certaine que nous le pensions », Marie la sanglante sur le trône d'Angleterre, Reference list: Monarchs of England (924x7–1707), https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Marie_Ire_(reine_d%27Angleterre)&oldid=178905920, Personnalité inhumée à l'abbaye de Westminster, Article contenant un appel à traduction en anglais, Article de Wikipédia avec notice d'autorité, Catégorie Commons avec lien local identique sur Wikidata, Portail:Biographie/Articles liés/Politique, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence.
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